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Qui peut agir sur qui pour éviter la fin du monde? Une réponse à Aurélien Barrau

« Dans cette vidéo tournée lors d’un cours du master EEET de l’université Paris-Saclay, Laurent Mermet met en discussion des interventions qu’Aurélien Barrau a faites au cours des derniers mois pour alerter sur l’urgence d’agir face à la crise écologique. »

La problématique est :

  • le changement climatique
  • l’épuisement des ressources
  • la pollution
  • la crise de la biodiversité : la destruction des écosystèmes

La fin du monde : notre mode de vie ne pourra pas continuer. Nous risquons des conflits majeurs.

Étymologie du mot « monde » : mundus en latin, cosmos en grecque c’est à dire un ordre, une organisation

La fin d’un certain ordre des choses. Est-ce que le monde dans lequel nous vivons va s’effondrer ? L’ordre de notre mode de vie va s’effondrer ?

Une fois que le constat est posé, quel est le noyau du problème ? Les avis diverges de manière radicales.

Le noyau du problème, ce qui nous pousse vers le mur est très simple, il y a deux « drivers » fondamentaux :

  • l’augmentation de la population
  • l’augmentation du niveau de vie

Plus précisément c’est l’augmentation de la part matériel de la consommation qui assure le niveau de vie

Il y a deux modulateurs :

  • l’efficience des flux matériels
  • l’agencement des structures socio-écologiques

Le référentiel des attentes : les générations ne se rappellent pas quel était l’état de la planète par ex 100 ans avant. Le « shifting base line ». Ex un jeune de 20 ans ne peut avoir aucune idée de la beauté des écosystèmes d’il y a 50 ans… C’est impossible car ce qui reste n’est que l’ombre de la richesse écologique (oiseaux, insectes, la végétation, etc…) de cette époque.

Or cette attente n’est pas également partagée par tous les membres de la population.